Votre courtier en prêt immobilier à Vannes est un spécialiste de l’octroi de prêts. Nous savons à quel point l’obtention d’un crédit immobilier est important pour vous permettre de concrétiser votre projet.

Mais si, bien souvent, les primo-accédants comptent sur un prêt à taux zéro (PTZ) pour acquérir un bien, il faut savoir qu’il existe un grand nombre d’autres prêts accessibles, mais ne faisant l’objet d’aucun coup de pouce de l’État. Ces prêts sont les prêts immobiliers du secteur libre, et nous vous les présentons en détail dans les lignes qui suivent. 

Les prêts immobiliers du secteur libre permettent de qualifier les emprunts qui sont opposés à ceux qui font l’objet d’une réglementation. Les prêts du secteur libre, qui peuvent tout à fait être associés au très en vogue PTZ, ne bénéficient d’aucune aide de l’État et peuvent être à taux fixe ou variable. Mais voyons quels sont les différents prêts concernés.

1. Le prêt achat-revente

Aussi appelé prêt relais intégral, le prêt achat-revente s’adresse aux foyers qui sont à la recherche de souplesse dans leur gestion financière. Si la banque prête ici la totalité du prix du bien à acheter (dans le meilleur des cas), un différé de remboursement allant de 12 à 24 mois est toutefois accordé à l’emprunteur.

Durant cette période de carence, le foyer ne rembourse que les intérêts et l’assurance emprunteur. Par ailleurs, l’emprunteur, qui peut aussi racheter une dette et l’inclure dans l’enveloppe du prix d’achat, peut également vendre le bien récemment acquis au cours des 12 à 24 mois suivant la date de carence. 

2. Le crédit relais

Parfois doublé d’un prêt immobilier amortissable, le crédit relais consiste en une avance accordée par l’organisme prêteur durant une période donnée (entre 12 et 24 mois).

Durant cette dernière, l’emprunteur a le devoir de rembourser l’intégralité de la dette en une seule et même fois. Lorsqu’il est bien associé à un crédit amortissable, le crédit relais permet d’acquérir un bien, à condition de payer les trois mensualités requises (crédit en cours, crédit relais et crédit amortissable). 

3. Le prêt in fine

L’avantage du prêt in fine, c’est qu’il permet d’ouvrir un compte avec un support financier comme une assurance-vie sur laquelle l’organisme prêteur dépose les fonds. Dès lors intervient une phase de nantissement, qui consiste à débloquer la somme équivalente au prix du bien immobilier, pendant la durée du prêt.

À la fin de la période de nantissement, les fonds sont débloqués et le prêt peut être remboursé. 

4. Le crédit différé 

Plus répandu que le prêt in fine, le crédit différé est intéressant lorsque le client, encore locataire et donc redevable d’un loyer, doit également assurer un emprunt immobilier. La période de carence applicable va de 12 à 24 mois et le paiement du capital est, logiquement, différé.

Toutefois, l’assurance emprunteur et les intérêts devront être réglés durant cette période.